samedi 30 mai 2009

POEME POUR LA FÊTE DES MERES

LE 18/05/2007 FETE DES MERES

A l’aurore, pour toi
Ce matin j’ai cueilli ce bouquet de fleurs
Fleur d’amour, de tendresse de complicité
A toi ce matin, je te dirais
Bonne fête mon amour

A l’aurore, ce matin
J’ai regardé ces fleurs, et j’ai pensé à toi
J’ai cueilli au fond de mon cœur ces fleurs
Fleur de mélancolie ,de tendresse, de tristesse,
Mais aussi d’amour


A l’aurore ce matin
J’ai regardé s’épanouir le reste de ces fleurs
Pour qu’elles vivent plus longtemps encore
Fleur de bonheur, de joie et d’amour

A l’aurore ce matin
Au fond de mon cœur je dirais simplement
Bonne fête maman

GERARD DELOMEZ

vendredi 29 mai 2009

Que reste t'il de nos amours ?

Je ne veux pas te parler de grandes choses, je veux te parler seulement de ce qui est presque invisible. Des respirations, des instants dont la lumière brille secrètement jamais se corrompre"


que reste-t'il de nos amours

Ce soir le vent qui frappe à ma porte Me parle des amours mortes Devant le feu qui s' éteint Ce soir c'est une chanson d' automneDans la maison qui frissonneEt je pense aux jours lointains{Refrain:}Que reste-t-il de nos amoursQue reste-t-il de ces beaux joursUne photo, vieille photoDe ma jeunesseQue reste-t-il des billets douxDes mois d' avril, des rendez-vousUn souvenir qui me poursuitSans cesse+Bonheur fané, cheveux au ventBaisers volés, rêves mouvantsQue reste-t-il de tout celaDites-le-moi+Un petit village, un vieux clocherUn paysage si bien cachéEt dans un nuage le cher visageDe mon passéLes mots les mots tendres qu'on murmureLes caresses les plus puresLes serments au fond des boisLes fleurs qu'on retrouve dans un livreDont le parfum vous enivreSe sont envolés pourquoi?{au Refrain}Charles Trenet Que reste-t-il de nos amours ?Paroles et Musique: Charles Trenet 1942© Editions Raoul Bretonautres interprètes: Dalida (1972), Patrick Bruel (2002)

IMMEMORY

Que restera t'il lorsque l'oubli, sur la matière de nos vies, aura accompli son travail d'anéantissement ? De chaque existence subsisteront simplement quelques souvenirs et pour tous, identique, le même merveilleux malheur d'aimer, le sentiment immense d'être malgré tout vivant, la somme des quelques instants où se tient et s'efface toute la succession des jours.